22. Juni 2015 by
Quand on se tourne vers la lumière, on ne peut éviter de rencontrer les ombres en soi-même et dans le monde entier. Sur le chemin de la découverte de soi, l’homme fait connaissance avec les deux. Accepter qu’il y a la lumière et l’absence de lumière, et de reconnaître les ténèbres en tant que partie intégrante de la création, contribue déja beaucoup à sa transformation en lumière.
Si nous sommes ouvert pour un changement et prêt à accepter l’amour comme force conductrice dans notre vie, les influences gênantes d’expériences douloreuses avec le côté obscur peuvent être transformées.
Libérée de ce poids, la conscience peut s’étendre, une nouvelle indépendance de penser et d’agir se manifeste dans la vie quotidienne, et un sentiment de vivacité, d’intégralité et d’amour universel peut s’épanouir.
Confrontés aux conséquences pénibles d’avoir exercé la libre volonté, nous avons souvent du mal à pardonner – à nous-mêmes et aux autres, et à demander pardon. Ainsi, par exemple, les expériences d’avoir été une victime et un malfaiteur nous font accumuler des mémoires douloreuses qui limitent et conditionnent notre façon de penser, sentir et agir.
Dès que nous réalisons qu’une fixation nous fait retomber dans les mêmes pièges d’action et réaction, nous commençons à nous poser des questions. C’est le moment d’écouter le cœur, et de voter pour un changement fondamental qui nous libère du cercle vicieux. Le cœur ne cesse pas de demander son droit d’aimer et d’être aimé.
Comme je suis doué de lire les origines et les caractéristiques de la lumière et de son absence, j’apporte la lumière là où elle n’était pas avant, souvent pendant longtemps. Les blocquages disparaissent, ayant perdu leur fonction d’enseignant, et la guérison peut procéder à tous les niveaux.